Vegan is the new luxury ! Et le Couvent des Minimes, la marque 100% vegan qui arrive maintenant en Suisse, en est la preuve. Soins visage et corps, parfums de niche et packaging élégant. On adhère à 100%… et même beaucoup plus !
C’est à Paris que la nouvelle histoire du Couvent des Minimes a été dévoilée au début de l’été. Repris en 2017 par les Laboratoires Filorga, le Couvent des Minimes a été complètement repensé afin de proposer des soins et des parfums de haute parfumerie élaborés à partir de matières naturelles nobles et rares et s’inscrivant dans la philosophie du 100% vegan. Et, comme si le challenge n’était pas suffisant, en s’imposant de rester dans des prix accessibles !
Avant d’être une marque, le Couvent des Minimes est d’abord un lieu, un couvent fondé en 1614 en Haute-Provence, et surtout un homme qui y vécut, Louis Feuillée. Erudit, il fut le botaniste de Louis XIV et l’auteur de trois traités majeurs de botanique classés au patrimoine français et conservés à la Bibliothèque nationale de France.
La passion de la botanique de Louis Feuillée ainsi que les nombreux voyages qu’il effectua aux quatre coins du monde à la recherche de nouvelles espèces pour le compte de Louis XIV ont servi de fil rouge au développement des nouvelles formules du Couvent des Minimes, d’où ont été banni tout ingrédient animal, qu’ils soient controversés ou liés à l’exploitation animale comme le miel ou la cire d’abeille.
Un casse-tête. Sans aucun doute, mais sûrement pas pour l’équipe du Couvent des Minimes qui y voit au contraire « une motivation », comme le dit Hervé Gambs, parfumeur et directeur de création olfactive. « Les règles pour être 100% vegan excluent l’utilisation des ingrédients traditionnels de la parfumerie comme, par exemple, l’ambre naturel issue du cachalot ou l’hyraceum qui vient du daman, un petit rongeur d’Afrique du Sud. Mais finalement, ce n’est pas si compliqué si l’on est créatif. On peut utiliser d’autres ingrédients très nobles comme la vanille tonka. »
De ces restrictions est née la collection Les Parfums Remarquables, unisexes, de cinq senteurs singulières et franchement superbes qui évoquent les voyages de Louis Feuillée, de la Méditerranée orientale à l’Amérique du Sud, de Porto Bello à Fort Royal en passant par Santa Cruz, Smyrna et Valparaiso, composition à base de bois de cèdre et de vétiver, le parfum préféré d’Hervé Gambs pour son « intensité boisée brute ».
Pour leur part, les jardins du couvent ont inspiré cinq Colognes Botaniques – Aqua Minimes, Aqua Mysteri, Aqua Solis, Aqua Paradis, Aqua Scrae – à base d’essences orales, de plantes infusées et d’absolus végétaux où l’on se laisse charmer par le citron, l’orange, la rose, mais aussi le pamplemouse, la mandarine, le jasmin ou encore la tubéreuse.
Enfin, une ligne de senteurs d’intérieur permet d’inviter le Versailles de Louis XIV chez soi avec les quatre Senteurs Singulières inspirées des séjours de Louis Feuillée à la cour.
Côté soins, on retient notamment les sept huiles botaniques – onagre, bois de santal, passiflora, hibiscus, moringa, chanvre et noix de kukui -, la crème pour les mains, Gardinarius, et celle pour les pieds, Via Domini, dont les formules sont composées de beurre de karité et de quinze plantes médicinales dans l’esprit des recettes du XIVème siècle utilisées pour soigner les mains des jardiniers et les pieds des pèlerins se rendant au couvent.
Avec cette cosmétique vegan, le Couvent des Minimes bouleverse également la notion même de luxe dans une volonté revendiquée de rendre les parfums de niche accessibles. « Je suis franchement enthousiaste à l’idée d’apporter de belles choses à un large public », insiste Marie-Caroline Renault, directrice générale de la marque.
Infos:
Le Couvent des Minimes
est en vente chez Marionnaud