Au commencement était l’oeuf… de Pâques ! Les chefs pâtissiers des hôtels 5 étoiles de Genève ont dévoilé leurs créations en chocolat lors d’un cocktail à l’hôtel Mandarin Oriental, le jour du printemps.
Il y avait quelque chose du paradis pour un gourmand lorsque la porte du salon du Mandarin Oriental s’est ouvert, dévoilant les oeuvres en chocolat des chefs pâtissiers de sept palaces genevois. Chaque création placée sur son socle avait l’air d’une véritable star que l’on dévorait des yeux à défaut de pouvoir la croquer !
Yohann Coiffard, du Beau-Rivage, a imaginé la Perle ivoire de Pâques, un trésor enrobé de chocolat ivoire, tandis que Julien Launay, de l’hôtel d’Angleterre, reposait l’éternelle question de l’oeuf ou la poule afin de créer un joli poulailler dans un grand oeuf.
Création à quatre mains pour L’œuf améthyste réalisé par Pierrick Simon, de l’hôtel Métropole, et Aurélien Houillon, du restaurant du Parc des Eaux-Vives. Clin d’oeil à Fabergé, ils ont dévoilé un œuf-géode améthyste avec un cœur scintillant en cristaux de sucre aromatisés à la violette, bergamote et rose.
Au Président Wilson, Didier Steudler a imaginé L’Œuf n°2, composé de cinq coques en chocolat, tandis que Philippe Riquier, à La Réserve, s’est inspiré des voyages de l’écrivain français Pierre Loti.
Au Richemond, Sébastien Quazzola a réalisé L’oeuf toqué, sculpture comprenant le personnage d’un cuisinier en chocolat noir Guayaquil 72 %.
Joris Blin, au Mövenpick, a imaginé La poule aux œufs d’or, un oeuf en trois textures, floqué vert velours, effet bois vieilli et patiné or.
Quant à Michaël Perrichon, son Œuf Nid-Pond rappelle les origines asiatiques du groupe Mandarin Oriental. Son œuf revêt une cuirasse et un casque de samouraï, réalisé en chocolat noir 72° origine équateur. Le jardin japonais qui l’entoure apporte à la création sa touche de zénitude.
Pour se laisser tenter, les oeufs du Beau-Rivage et du Président Wilson peuvent être commandés auprès des hôtels.
